vendredi 25 janvier 2013

Dans la case de l'oncle TOM

Grand monsieur qui peut porter un marcel à trous avec une chaine en or et qui inspire le respect.

Monstre Chanteur qui se déhanche en veste à paillettes avec une bague en or aussi grosse qu'une montre a 20 000 et qui m'affiche un sourire.




Tom Jones, qui m'enchante avec "it's not unusual" sorti en 1965. Tom qui fut le premier à recevoir des petites culottes sur scènes de ses nombreuses fans amourachées, totalement en transe lorsque de sa voix de velours il chante l'amuuuuuur, que son pelvis va et vient dans son pantalon pattes d'éléphant et que le col pelle à tarte de sa chemise découvre un pendentif en or enseveli dans son torse velu.




Tom Jones est merveilleux, il est celui qui a fait trembler la couronne du King en se produisant à Vegas dans les années 70.
Celui qui a reprit le Prince avec Art Of Noise  à la fin des années 80 (tannananan Kiss).

Celui qui rencontre sur scène les petits hommes verts de Mars Attacks de Tim Burton (faisant montre une fois de plus qu'il a un grand sens de l'auto-dérision).

Grand Monsieur que  Tom Jones, qui sent la tendance et s'adjoint les services de Wyclef Jean ou de Jack White.




Tom le héros a même chanté avec la divine Ella, une version de "Sunny" qui ramollit la carapace de la tortue !

Cher Monsieur Tom, en ces moments qui ne font pas sourire, tu as le pouvoir d'étirer mes zygomatiques.
Et je te love pour ça.





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